Les casques à conduction osseuse, de Beethoven à Kipchoge

Quel est le point commun entre Beethoven et toi ? 

A - Un sens unique du rythme 🕺

B - L’utilisation de la conduction osseuse 🦴

C - La capacité de garder une allure à 180 BPM 🫀

D - Un talent inégalable au piano 🎹

Réponse B ! Surprenant non ? 😲 Eh oui, la technologie utilisée dans les casques à conduction osseuse des sportifs trouve ses racines chez ce grand compositeur du XIXème siècle 🎼. On commence donc avec un petit point histoire 🤓. 

En 1798, à l'âge de 27 ans, Beethoven devient progressivement sourd. Pour continuer à « entendre » et travailler ses compositions, il plaçait un bâton en bois entre ses dents, avec l’autre extrémité posée sur le piano 💡. Grâce aux vibrations qui se propageaient à travers les os de son crâne, il percevait les sons sans passer par ses tympans👂. Deux siècles plus tard, cette idée de génie inspire les casques à conduction osseuse qui se multiplient aujourd’hui sur les têtes des coureurs 🏃. Une technologie révolutionnaire qui transmet la musique en interne et te permet d'être attentif à ton environnement lorsque tu pratiques ton activité 🏃.

Concrètement, comment ça marche ? 🤔

Le principe s’appelle l’ostéophonie. Rien de sorcier 🧙 : si tu veux faire l’expérience toi-même, bouche-toi les oreilles et parle 🙉. Le son que tu entends résonner ne vient pas de l’air, mais bien de ton crâne par vibrations 😉. Le casque à conduction osseuse fonctionne de la même manière. Les petits haut-parleurs placés sur tes pommettes envoient des vibrations à l’os zygomatique (celui que tu sens quand tu souris face à la ligne d’arrivée de ton premier trail 😁). Les vibrations traversent donc cet os jusqu’à atteindre l’oreille interne et la cochlée. Tu sais, c’est cette partie de l’oreille en forme de spirale 🌀. Elle contient les terminaisons nerveuses auditives et envoie des signaux électriques au cerveau ⚡️. Et bam ! Comme par magie, le cerveau interprète un son 🧠.

Crédit photo : Finishers

Pourquoi choisir un casque à conduction osseuse ? 🤨

La première raison de choisir un casque à conduction osseuse, c’est la sécurité ✅. Ces écouteurs permettent d’entendre la circulation 🚗, les cyclistes 🚴 ou les piétons autour de toi. Et pour les femmes qui courent de nuit, c’est aussi un moyen de rester plus vigilantes, puisque 92 % d’entre elles déclarent se sentir inquiètes lors de leurs séances nocturnes 🌙. Ensuite, il y a la résistance 👊. Pluie, sueur, vent ou poussière : rien n’arrête ces casques conçus pour affronter les éléments. La marque Shokz propose aussi des casques étanches, avec un indice de protection qui varie selon la protection IP. Par exemple, un IPX5 à 7 affronte les pluies extrêmes, tandis qu’un IPX4 résiste à la transpiration et aux éclaboussures 💦. Et si tu veux faire tes longueurs en musique 🏊 (ou chanter sous la douche sans déranger ton coloc 🚿), l’OpenSwim Pro est là pour ça. Enfin, ces écouteurs offrent une sensation de liberté totale : plus de fils qui s’emmêlent, plus d’écouteurs à replacer sans cesse, le rêve 🤩.

La musique, ton meilleur allié 🥁

La musique, c’est un peu le dopant autorisé du coureur 🙃. Elle n’augmente pas ton endurance ni la taille de tes mollets, mais elle a la capacité de booster ton moral et ton énergie 💥. Ce n’est pas pour rien que la Fédération Française d’Athlétisme a interdit les écouteurs en compétition officielle depuis 2015 : trop d’avantages cachés !

Il est vrai que lorsque tu es à bout, que tes jambes sont semblables à du bois et que ton cœur feint de s’arrêter, la seule solution est de lancer à fond « I Will survive » ou encore « Highway to hell » de ACDC 🎸. Concrètement, la musique libère de la dopamine, une molécule qui entraîne la sensation de bien-être (et anesthésie une partie de ta douleur 🤕). D’ailleurs, de nombreuses playlists sont désormais calibrées selon le BPM (battements par minute ⏱️). Si tu veux courir à 140 BPM, lance « Rock This Party » de Bob Sinclar 🪩. Et si tu veux atteindre les 180 BPM d’un rythme de marathonien, rien de mieux que « Harder, Better, Faster, Stronger » de Daft Punk 🎭. L’alternative à la musique, c’est aussi le podcast. En sortie longue, rien de mieux que de s’instruire sur les sujets d’actualité 🤓. Tout en courant, ce format audio permet de t’évader et de te concentrer sur autre chose que le bruit de tes foulées 😴. 

La star de la conduction osseuse ⭐️

Sur le marché, un nom s’impose : Shokz. Cette marque a même collaboré avec le légendaire marathonien Eliud Kipchoge et propose une gamme complète : 

1 - L’OpenMove, en entrée de gamme 🐣

2 - L'OpenRun, le plus vendu 😍

3 - L’OpenRun Pro, pour les sportifs plus exigeants 🐥

4 - L’OpenSwim Pro, pour les nageurs et ceux qui aiment chanter sous la douche 🧼

Crédit photo : Finishers

Mais Shokz n’est pas la seule marque qui commercialise ces bijoux de technologie 💍. D’autres acteurs comme Suunto, Haylou ou Play2Run développent aussi leurs modèles 🙌. Ah ! Et on a failli oublier un point crucial : la santé de tes oreilles 🩺. En évitant que la musique n’entre directement dans ton conduit auditif, tu protèges ton audition sur le long terme 📆. Il faut bien sûr garder une écoute raisonnable, mais à long terme, la différence se fera sentir 👏.

Que tu sois adepte du footing du dimanche, du triathlon ou du trail, les casques à conduction osseuse t’offrent une expérience unique ☝️ : celle de courir en musique sans te couper du monde 🌍. Et si tu fais partie de la team des « naked runners », ceux qui préfèrent courir sans montre ni écouteurs, libre à toi… Mais promets-nous au moins d’essayer 😈.

Et quand tu le feras, pourquoi ne pas lancer la Neuvième Symphonie de Beethoven ? Deux siècles après lui, tu écouteras la musique exactement comme il le faisait 🤪.